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Réouverture des boîtes de nuit et des espaces de divertissement nocturnes après le Ramadan

Réouverture des boîtes de nuit et des espaces de divertissement nocturnes après le Ramadan

La levée des restrictions se poursuit dans le pays avec l’amélioration de la situation épidémiologique. C’est dans ce cadre que le gouvernement envisage, après le Ramadan, la réouverture des boîtes de nuit, des casinos et d’autres espaces de divertissement nocturnes. Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Assabah.

Après le feu vert pour la réouverture des stades au public, le gouvernement s’achemine vers la levée des restrictions touchant le secteur du divertissement nocturne. Il s’agit en fait de la réouverture, après le mois de Ramadan, des boîtes de nuit, des discothèques, des night-clubs, des casinos et d’autres espaces de divertissement nocturnes.

D’après les sources du quotidien Assabah, qui rapporte l’information dans son édition du week-end des 26 et 27 février, cette réouverture mettra un terme à plus de deux années de fermeture, ayant engendré moult dégâts pour le secteur, ses employés, ses patrons, ses locataires, ses techniciens et ses musiciens. L’accès à ces espaces, précise le quotidien, sera conditionné à la présentation d’un pass vaccinal, le strict respect des mesures de prévention sanitaire, le port du masque et la distanciation physique.

Toute violation de cette règlementation sera sévèrement sanctionnée, indiquent les sources du quotidien. Et d’ajouter que cette annonce faite presque soixante jours avant la réouverture permettra aux professionnels du secteur de préparer soigneusement la reprise et de mettre au point tous les changements qu’exige ce démarrage.

Dans ce sillage, le quotidien cite les contrats avec des groupes de musique, l’approvisionnement, les réaménagements nécessaires et d’autres préparatifs. Ce secteur, rappelle enfin le quotidien, a été sinistré par la fermeture forcée à cause du Covid-19 depuis le 20 mars 2020.

Des salariés ont été massivement licenciés sans indemnités et les professionnels du secteur n’ont pas bénéficié des crédits et des subventions qui leur auraient permis de faire face aux dégâts engendrés par la crise sanitaire.

Le  23 février 2022

Source web par : hespress

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