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Les comptes salés de M. Jettou et de sa Cour

Les comptes salés de M. Jettou et de sa Cour

La publication des rapports de la Cour des Comptes pour deux années consécutives, 2016 et 2017, a fait l’effet d’un coup de tonnerre dans un ciel serein !

Et si les rapports portent sur deux années suivies, c’est que l’on a délibérément voulu introduire une continuité dans les constats d’une série de dysfonctionnements, de lacunes, d’erreurs, de fautes et de manquements graves qui affectent des organismes, départements et institutions en charge des affaires publiques !

Ces rapports de la Cour des Comptes sont fortement critiques, passablement accusateurs et tendent, tous, à étayer la conviction que depuis 2016, au moins, rien ne va pratiquement plus dans le Royaume en termes de gouvernance publique…

Qu’on en juge :

– La CMR désespère ;                                      

– Le tourisme est en plein cataclysme ;

– L’assurance est en errance ;

– La maladie dépérit ;

– La presse ne connaît que le stress ;

– L’habitat est à plat ;

– Les finances cassent la confiance ;

– L’agriculture plonge dans la déconfiture ;

– L’enseignement subit le tourment ;

– L’économie est en mode de survie.

Ces quelques exemples suffisent à étayer les propos qui précèdent, mais, en vérité, ces rapports, pour utiles et nécessaires qu’ils sont, ne sont pas pour étonner l’opinion publique qui vit au quotidien les affres de la mal-gouvernance.

La Cour des Comptes est, effectivement, pleinement dans son rôle lorsqu’elle met à plat ce qui ne va pas dans le pays, en épinglant les responsables et en permettant que le principe de la reddition des comptes soit autre chose qu’une seule exigence inscrite au fronton de la Constitution.

Publier le 29 août 2018                     

Source web par : lnt   

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