TSGJB BANNER

C’est un refroidissement planétaire qui nous attend, selon les scientifiques russes

C’est un refroidissement planétaire qui nous attend, selon les scientifiques russes

C’est un refroidissement planétaire qui nous attend, et non un réchauffement », disent les scientifiques russes

La chaleur de l’été est le moment où les avocats du réchauffement sont les plus actifs pour tenter de convaincre la majorité sceptique.

Pourtant, les scientifiques russes prédisent l’arrivée d’une nouvelle mini-ère glaciaire. La thèse du réchauffement climatique est un stratagème marketing, disent-ils.

Le chercheur russe Vladimir Bachkine affirme que les changements climatiques sont cycliques et ne sont pas liés à l’activité des hommes. Raouf Galiouline, de l’Institut des problèmes de biologie à l’Académie des sciences de Russie, confirme : l’entrée dans une nouvelle ère de glace nous attend.

«Un petit âge glaciaire se produit tous les 500 ans environ. Le précédent a eu lieu au milieu du dernier millénaire, lorsque la Tamise gelait en Angleterre. On patinait en hiver aux Pays-Bas, et en Russie, les étrangers avaient peur de voir les arbres éclater à cause du gel. Les périodes de refroidissement et de réchauffement arrivent tous les 30 à 40 ans. Par exemple, la Russie a connu une période de réchauffement dans les années 1930, lorsque la route maritime du Nord pouvait être étudiée. Ensuite pendant la guerre, il y a à nouveau eu un refroidissement. Puis un nouveau réchauffement dans les années 1970. La période de réchauffement actuelle a pris fin au début du nouveau millénaire», explique Galiouline.

« Les recherches sur le climat des époques géologiques précédentes mettent le doute sur le bien-fondé des demandes formulées dans le Protocole de Kyoto », poursuit Vladimir Bachkine. « Le protocole limite les émissions de gaz à effet de serre et introduit les quotas sur ces émissions. Les émissions de dioxyde de carbone sont un processus naturel, il ne résulte pas uniquement de l’activité humaine. »

«L’effet de serre lié à des facteurs anthropiques représente de 4 à 5% des émissions naturelles», ajoute Bachkine. « L’éruption d’un volcan donne beaucoup plus. La plus grande contribution à l’effet de serre, c’est la vapeur. Dieu merci, personne n’a formulé l’idée de la réglementer» dit le scientifique pour se moquer des coûteuses réglementations liberticides et des taxes carbone.

« Le réchauffement de la planète, tant évoqué ces dernières années, n’est pas tant un problème scientifique, qu’un stratagème marketing » conclut Bachkine.

Le 19 septembre 2017                                      

Source web par  2012un-nouveau-paradigme

Les tags en relation

 

Les articles en relation