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Un nouveau programme pour propulser les entreprises marocaines à l’étranger

Un nouveau programme pour propulser les entreprises marocaines à l’étranger

Avec un soutien financier et technique, et une formation sur mesure sur trois ans, «Primo-Exportateurs» est un programme qui a pour but de renforcer la compétitivité des entreprises. Une revue de presse des Inspirations Eco.

Le programme «Primo-Exportateurs», initié par le ministère de l’Industrie, se déploie actuellement via une campagne publicitaire qui promeut une démarche censée encourager les activités d’exportation.

Ce programme, selon Les Inspirations Eco de ce mardi 26 septembre, s’étale sur trois ans, et «se distingue par son approche complète et son engagement à fournir un soutien financier et technique, ainsi qu’un accompagnement personnalisé aux entreprises et coopératives marocaines», explique le quotidien.

Ce programme d’appui aux primo-exportateurs cible toute entreprise ou toute coopérative de droit marocain domiciliée au Maroc, quel que soit son profil, sa taille ou son secteur d’activité.

Deux catégories d’entreprises sont identifiées: les entreprises qui n’ont jamais réalisé une opération d’exportation, et les entreprises exportatrices irrégulières, dont le chiffre d’affaires moyen à l’export sur les trois dernières années, qui ne dépasserait pas 5 millions de dirhams.

Il s’agit essentiellement d’une immersion au cœur de petites entreprises et coopératives, visant à élaborer une stratégie d’exportation solide, tout en mettant à disposition un ensemble d’outils, notamment dans les domaines prospectifs et digitaux, facilitant la localisation de niches de marchés porteurs.

«Cependant, il est important de noter que les marchés des accords de libre-échange actuels présentent des défis d’accès en raison des avantages comparatifs et compétitifs en jeu. Encourager les petites et moyennes entreprises (PME) ainsi que les coopératives à s’impliquer davantage dans les exportations implique une maîtrise accrue de la chaîne logistique, des flux tendus, ainsi qu’une formation spécialisée en ressources humaines», explique le quotidien.

Le cœur de ce programme réside dans l’offre d’un soutien financier et technique de l’État. La première étape consiste à réaliser un diagnostic approfondi de l’entreprise, afin de déterminer ses forces, ses faiblesses, ses opportunités et ses risques.

Sur cette base, un plan de développement à l’export sur trois ans est élaboré, offrant des recommandations pour renforcer l’organisation, les opérations et la stratégie de l’entreprise, en vue d’une démarche structurée vers l’export.

«Par la suite, les entreprises auront accès à des formations spécialisées, couvrant divers aspects du développement à l’export, tels que le marketing, la finance, la logistique douanière et le transport», explique Les Inspirations Eco.

Enfin, le ministère de tutelle, celui en charge de l’Inclusion économique, de la Petite entreprise, de l’Emploi et des Compétences, assurera un accompagnement personnalisé à la mise en œuvre d’un plan de développement à l’export.

Une opération qui inclut le soutien au financement de certaines actions de prospection, de promotion et de commercialisation auprès de marchés étrangers.

Le 25/09/2023

Source web par : le360

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