Un nouveau Sofitel à Agadir

Le Sofitel Agadir Thalassa Sea & Spa ouvre ses portes à partir du 8 mars Un investissement de 450 millions de DH Création de 235 emplois directs L’hôtel offre 173 chambres dont 48 suites dans un cadre architectural où soleil et fraîcheur se conjuguent en un sublime mariage de modernité et de traditions locales Le groupe Accor se développe sur la destination Agadir. L’entreprise ouvre dès le 8 mars prochain un nouveau Sofitel dans la station balnéaire. Un établissement cinq étoiles luxe baptisé Sofitel Agadir Thalassa Sea & Spa. Implanté sur le front de mer sur sept hectares, ce luxueux resort a nécessité un investissement de 450 millions de DH, précise Samy Boukhaled, DG des hôtels Sofitel à Agadir. L’hôtel offre ainsi 173 chambres dont 48 suites ‘’dans un cadre architectural où soleil et fraîcheur se conjuguent en un sublime mariage de modernité et de traditions locales’’, est-il indiqué. Résolument tourné vers l’océan, l’hôtel a été imaginé par l’architecte décorateur français, Didier Rey. L’établissement a été décoré autour du thème de l’eau. Dans les chambres, tout est pensé dans le détail pour offrir une prestation luxueuse au client. Douches à jets de pluie, concept exclusif My Bed de Sofitel au niveau de la literie, terrasses privées et service personnalisé avec en sus des piscines chauffées privées dans les suites ‘’opéra’’. Sur le plan commercial, les prix de l’hébergement sont entre 3000 DH et 30.000 DH la nuitée. Côté emplois, le nouvel hôtel a généré 235 emplois directs dont 61% ont bénéficié à la main d’œuvre locale. Pour l’heure, c’est encore les derniers essayages et briefings avant l’accueil des premiers clients le 8 mars prochain. Selon Samy Boukhaled, l’hôtel est commercialisé depuis déjà un an. L’établissement est même annoncé complet durant la période du trophée Hassan II de golf en mars prochain. Pour Agadir donc ces lits additionnels sont un nouveau souffle pour l’activité surtout que l’établissement va drainer une nouvelle clientèle à fort pouvoir d’achat sur la station balnéaire sans risque de cannibalisme avec les hôtels existants. SOURCE WEB Par Malika ALAMI L’Economiste