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Tourisme au sud Maroc

Nous sommes dans un monde qui change, qui a changé ! Il est certain qu’il va falloir trouver des solutions et une alternatives à cette forme de tourisme que le Maroc s’est donné, qui est celui des Ressorts, du Golf, celui de la ville de Marrakech, le tourisme citadin et à partir de cela, avec le « Droit aux vacances pour les Marocains »,.., « les marocains qui ne connaissent pas leur pays » …, donc il faut trouver cette synthèse et trait d’union avec les élus, prendre en compte la régionalisation avancée qui se met en place, et en faisant confiance aux jeunes, ces générations « y » et génération « Z » qui manipulent les réseaux sociaux pour faire valoir que « l’on a tout à côté de chez soi » à travers la nature, le culturel ! ……….Bien entendu, il faut construire tout cela !! D’où actuellement cette alternative, pour le cas de l’Anti Atlas et du Jbel Bani avec le Géoparc du Jbel Bani et une volonté d’Inscription au Patrimoine de l’UNESCO ! IL s’agit de mettre en valeur tout ce qui peut être matériel au niveau de cette histoire marocaine qui date de 11 siècles avec l’arrivée des arabes qui y ont rencontré les berbères pour y installer toute une économie qui historiquement a fait ce Maroc moderne que l’on connait actuellement ! Donc je dirais que nous avons réussi à mettre en place un RTDGJB Réseau de Tourisme Durable du Géoparc du Jbel Bani aui permet la valorisation en un premier temps de 149 hébergements classés qui ne sont pas assez connus, certes !...., c’est là un problème de promotion mais à partir de là, nous nous proposons dans le cadre d’une structure « inter régionale», avec les nouveaux élus qui se mettent en place, avec le Ministère, avec la SMIT qui a son mot à dire ! et qui, à partir de ce constat a permis de définir 40 circuits qui, aux départs des aéroports de Ouarzazate, de Marrakech, d’Agadir, de Guelmim, et plus tard de Tata et de Zagora permet de prendre en compte cette notion de « tourisme interne » rapprochée à ces notions de capital matériel et immatériel et qui fait que nous avons beaucoup de choses à voir. Le problème c’est de le faire reconnaitre. Pour cela, il faut le structurer. Il faut faire ce pas vers ces élus pour faire valoir ce que peuvent être ces éco musées, les rassemblements de culture et nature et faire comprendre ce qu’est « cet acte touristique » qui est avant toute chose « le partage entre l’un et l’autre » qui vient chercher dans ce pays là, à travers « entre guillemets cet exotisme « magrébin, africain »,.. le fait de rencontrer la population. Population qui a pour elle une culture, un artisanat et puis aussi le côté géologique à découvrir, L’Anti Atlas est considéré par les géologues comme le « paradis des géologues », « paradis des photographes aussi » ! …,et à, partir de là, je dirais qu’avec les jeunes et dans ce partage, on vous invite à venir nous rencontrer dans cet arrière pays qui sera le complément d’un tourisme « finalisé » dans le cadre d’une vision 2010, d’une vision 2020 et qui nous permettra de surmonter toutes ces problématiques que l’on peut connaitre actuellement !

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